Longue-Pointe-de-Mingan - A la fin de la route
Les baleines en Minganie en vidéo
9 novembre 2012 | alafindelaroute | One CommentVoilà une vidéo de notre excursion avec le MICS pour observer les baleines depuis Mingan (Québec, Canada) en août 2009.
» Je suis la fille du gardien de phare «
18 avril 2012 | alafindelaroute | One Comment[soundcloud url= »http://api.soundcloud.com/tracks/36021730″ params= »auto_play=false&show_artwork=true&color=ff7700″ width= »100% » height= »166″ iframe= »true » /]
» Je suis la fille du gardien de phare « . Ça pète quand même, non ? C’était la phrase inscrite en Times New Roman caractère 268 sur le cabanon de Danielle. Oui, rappelez-vous, la mogul de Longue-Pointe-de-Mingan. Danielle, genre de businesswoman à la sauce poutine qui, dans son fief, propose logements, restauration, excursions, fringues, bibelots… Bref, si vous avez besoin de quoi que ce soit, Danielle est là. Et le lendemain de notre excursion baleines, nous avions prévu de terminer notre séjour par une petite virée dans l’archipel de Mingan (Île aux Perroquets, celle du phare et donc de Danielle, et Île Nue) avant de redescendre dans le sud.
Baleines en Minganie
25 mars 2012 | alafindelaroute | 12 Comments[soundcloud url= »http://api.soundcloud.com/tracks/11730115″ iframe= »true » /]
En nous rendant dans le Nord du Québec, nous avions deux choses à l’esprit : aller au bout de la route 138 et partir en excursion pour observer des baleines, histoire de sortir un peu des circuits traditionnels (Tadoussac, Cap de Bon-Désir). Vraiment, je ne m’attendais pas à un tel pied. Pour avoir tenté plusieurs endroits (Husavik en Islande, Boston, Key West…), c’est pour l’instant le meilleur plan baleines que j’ai jamais testé. Mais tout se mérite. Il faut déjà arriver jusqu’à Longue-Pointe-de-Mingan (16 heures de route depuis Montréal), trouver un logement (dans notre cas, à Havre Saint-Pierre) et être patient.
Là où la route s’arrête
2 mars 2012 | alafindelaroute | 7 Comments[soundcloud url= »http://api.soundcloud.com/tracks/5582149″ iframe= »true » /]
Jeudi 30 juillet, des Bergeronnes à Sept-Îles
La ruée vers le Nord débutait donc aux Bergeronnes. Le temps de se lever, de voir que tout le monde s’était déjà fait la malle (« running gag »), nous avions deux jours pour avaler les 800 kilomètres qui séparent notre point de départ de Natashquan, dernier village sur la 138. De là-bas, nous voulions aller une vingtaine de kilomètres plus loin, là où la route prend fin, puis faire marche arrière pour trouver un toit à Longue-Pointe-de-Mingan (à 190 km de Natashquan) ou à Havre Saint-Pierre (à 150 km). Vraiment, ce périple sur la Côte-Nord, où le mot solitude prend tout son sens, nous a réservé de très belles surprises. Et je ne pensais pas qu’il me marquerait autant.