baleines - A la fin de la route
On a testé une croisière à baleines à Husavik (et mangé des beignets)
20 avril 2013 | alafindelaroute | 8 CommentsParcs naturels, rencontres inopinées, zoos… Qu’importe le voyage, qu’importent les moyens, telles des fashionistas lâchées le premier jour des soldes dans un Mango, nous sommes toujours à la recherche de bestioles. Frénétiquement. Il y a mon fétichisme pour les panda roux et les loutres, je sais c’est bizarre… mais tellement meugnon, mais on a aussi un petit faible pour les baleines. Boston, Tadoussac, Longue-Pointe-de-Mingan, nous avons testé pas mal de croisières. Bref, les baleines, on se dit jamais « c’est assez » (°_°). Et en Islande, nous avions coché Husavik, dont on a déjà parlé ici pour son musée du pénis qui a depuis déménagé à Reykjavik pour voir plus gr(l)and (voir la chronique).
Les baleines en Minganie en vidéo
9 novembre 2012 | alafindelaroute | One CommentVoilà une vidéo de notre excursion avec le MICS pour observer les baleines depuis Mingan (Québec, Canada) en août 2009.
Baleines en Minganie
25 mars 2012 | alafindelaroute | 12 Comments[soundcloud url= »http://api.soundcloud.com/tracks/11730115″ iframe= »true » /]
En nous rendant dans le Nord du Québec, nous avions deux choses à l’esprit : aller au bout de la route 138 et partir en excursion pour observer des baleines, histoire de sortir un peu des circuits traditionnels (Tadoussac, Cap de Bon-Désir). Vraiment, je ne m’attendais pas à un tel pied. Pour avoir tenté plusieurs endroits (Husavik en Islande, Boston, Key West…), c’est pour l’instant le meilleur plan baleines que j’ai jamais testé. Mais tout se mérite. Il faut déjà arriver jusqu’à Longue-Pointe-de-Mingan (16 heures de route depuis Montréal), trouver un logement (dans notre cas, à Havre Saint-Pierre) et être patient.
Coups de soleil et dos de baleines
21 février 2012 | alafindelaroute | One Comment[soundcloud url= »http://api.soundcloud.com/tracks/33693775″ iframe= »true » /]
28 juillet, de Dolbeau aux Bergeronnes
C’est arrivé d’un coup, comme ça, sans crier gare. Ce matin du 28 juillet, il faisait beau, grand bleu. A une petite heure de route, la première étape nous amenait au parc national de la Pointe-Taillon, lové sur une langue de terre dessinée par la rivière Peribonka. Ce petit parc (92 km2), avec campings rustiques, dispose de sentiers de randonnées et de pistes cyclables qui s’ouvrent sur les tourbières. Mais surtout : 15 kilomètres de plages sur le lac Saint-Jean avec un sable coloré magnifique (après recherche, c’est dû à des grains d’ilménite, oxyde de fer et titane). Ni une, ni deux : serviettes, maillots de bains, mots croisés et trempage des pieds, pas plus. Faut dire que l’eau doit être aux environs de 14-15 degrés, un peu juste pour nous, mais ça n’arrête pas les dizaines de Québecois autour de nous. Ce qu’on n’avait pas prévu, c’était l’inclinaison du soleil, différente (forcément) de chez nous. Pour résumer, en deux heures, je suis devenu écarlate alors qu’il faisait à peine 20 degrés. Bien vu l’aveugle.