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A la fin de la route | 22 avril 2019

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Morfale, j’ai mangé de la galvaude

Morfale, j’ai mangé de la galvaude
alafindelaroute

Après quelques spécialités islandaises, macareux et eplakaka, cap sur le Québec avec la galvaude. Un matin de traversier pour la Gaspésie à Godbout, ne voyant à l’horizon qu’un camion-cantine pour me remplir l’estomac, j’ai commandé une galvaude, sans trop savoir où je mettais le palais. Alors, qu’est-ce, tabernacle ? Tout simplement une variante de la poutine, le plat emblématique du Québec. Des grandes chaînes aux petits restaurants indépendants, on en trouve absolument de partout.

 

 

La poutine qui, selon Wikipedia, voudrait dire « mixture étrange », c’est tout simple : des frites, du fromage cheddar blanc à pâte non affiné, en grains et frais du jour (ça doit faire skouick skouick sous la dent), et enfin une sauce brune, à base de consommé de volaille. Personnellement, j’en raffole même si, à l’oeil, ça casse pas des briques.

 

A l’instar de la pizza (que celui qui a pensé à foutre de l’ananas dessus se jette d’un pont), la poutine a des tonnes de variantes  : avec saucisse, sauce bolo (italienne), avec guacamole (mexicaine), avec du chou crémeux, des crevettes, des champignons…

Et la galvaude donc. C’est exactement la recette classique avec des petits pois et du poulet en plus. Autant vous dire que ça cale bien et que c’était pas le menu idéal avant de faire une heure de bateau. C’est bon, mais sans plus. Comme pour le défunt Yop nature qui nous manque tant, le dérivé ne vaut pas l’original.

 

 

LA NOTE : deux morfales

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