Sous le soleil de Venice beach

Vu que ce mois d’avril ressemble à s’y méprendre à un mois de novembre, ma moitié me dit hier : « Mets du soleil sur ton blog ». Belle idée. Aujourd’hui, partons alors pour Venice Beach, Los Angeles. Lors de notre visite de la « Cité des Anges » en août 2011, la petite Venise, voulue ainsi par le conservationniste Abbot Kinney, tombé amoureux de la Sérénissime, était notre camp de base. Un peu à l’écart du bouillonnement perpétuel du coeur de Venice (heureusement !), nous logions en bord de plage, à la limite de Marina Del Rey. Alors, voici Venice, ses canaux, sa plage, ses surfers, ses culturistes (Muscle beach), ses secouristes clichés, ses skaters, sa coolitude… et beaucoup beaucoup de soleil.

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Highway 375 : la route des extraterrestres

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Comme tout bon mec qui refuse de demander son chemin, David Vincent a cherché un raccourci que jamais il ne trouva. C’est ballot. Nous, nous l’avons déniché, presque par hasard. En ce jour d’août 2011, nous quittions le Yosemite Park (Californie) pour rejoindre le Zion Park (Utah). Une belle tirée de plus de 900 kilomètres à travers le désert du Nevada, ses routes à perte de vue, ses villes fantômes et sa chaleur écrasante.  C’est en plein coeur de ce paysage de carte postale que nous sommes tombés sur la fameuse Highway 375, aussi appelée Extraterrestrial Highway. Une route à deux voies longue de 98 miles (158 kilomètres) qui relie Warm Springs à Crystal Springs.

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Amoeba, temple de la musique à San Francisco

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Un gamin dans un magasins de bonbecs. A moitié autiste, à gratter les bacs, tourner, retourner, prendre, reposer. Je réfléchis, j’écoute, j’esquisse un mouvement de popotin, je me ravise, je grogne et j’y retourne. Ça, c’est moi dès que je mets les pieds dans un magasin de disques. Autant dire que j’ai frisé la crise d’apoplexie en franchissant la porte d’Amoeba Music.

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